Encore un p'tit tour en Thaïlande
Alors, partis pour un tour en Thaïlande ? je ne m’en lasse pas,
Il me suffit de fermer les yeux et je m’y revois.
ACCRochez les ceintures, je vous emmène, vaille que vaille,
Nous traverserons ensemble la Rivière Kwaï,
Franchirons ce pont mythique rempli d’histoire
Avec pour tous ces hommes tombés, une pensée à leur égard,
Et si le temps le permet, nous pendrons une pirogue
J’ai tant aimé l’endroit, que c’est devenu une drogue !
Puis, ce sera Lopburi, où, grimpant un peu partout
Les singes du temple accourreront vers nous
D’autres, s’accrocheront aux murs de briques
Quand d’autres encore joueront aux équilibristes,
Sur les toits, les murs, et les fils électriques.
Et si l’on se restaurait, le long du Chao Phraya,
Les plats sont colorés, parfumés, et donnent envie
Venez, sentez, n’hésitez pas, goûtez-moi ça !
Vous connaissez, vous reprendez bien un peu de sushis
Là, voyez ces billes, ne craignez rien, laissez-vous faire,
J’en ai pris, j’ai adoré, j’en ai repris c’est du tapioca vert !
Est-ce que vous connaissez le sucre de coco,
Non, j’en étais sure, allons voir la fabrication
Puis pendant que nous y sommes, nous goûterons
Ces sucres supercalifragilissement bons !!!!
Là, là …doucement…… cool………….. mollo !
Suivons le guide, vous allez en avoir plein les mirettes,
Des cheddis d’or, de rouge, de bleu, des statuettes,
Des bouddhas, mais pour entrer d’abord, vous devrez
Retirer tongs, sandales, mocassins et aller nu-pieds…
Et si nous admirions tout simplement de ce temple son reflet
Se mirant dans l’étang parmi les roses nénuphars
Dépêchons-nous pour ne pas être en retard,
Afin de voir derrière ce grand bouddha, le soleil qui disparaît ;
Couché depuis si longtemps, comme il a l’air serein
Entièrement recouvert d’un long tissu orange et sacré,
Appuyé sur le coude, le bras légèrement replié, la tête sur sa main
De ce bouddha de sept mètres, admirez-en la tête et les pieds.
Mais, de la Thaïlande, voyons un peu la vie de tous les jours,
Du marchand de balais, à la pileuse de glaçons
Elle, de ses doigts habiles façonnant des fleurs de savon,
Des œufs roses en vitrines, aux offrandes quotidiennes
Des maisons gribouillées, rayées et striées de fils électriques
Et qui ressemblent on peut dire à du papier de musique.
Les tuc – tuc, les marchands ambulants, les taxis de couleur,
Et toujours ces sourires qui réchauffent le cœur.
Une plantation d'ananas
Le Mékong
Et au retour, une vue sur Dubaï
et la tour Burg de 200 m et 160 étages !
ciel ! que c'est haut !
Texte de Marina, photos de Marina et de Pieb
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